Une fin de semaine chaotique m'embrouille les idées. Je repense a toute ces soirées, celle d'hier soir, est ce que quelqu'un vous a déjà balancé un chat dessus dans votre sommeil? Moi oui. je devrai travailler, écrire ce papier sur Benjamin, the work of art, mais je ne le fais pas.
Je pense a Camille, je lis ses pensées et j'en reconnais beaucoup. Je pense a l'été en France. Camille tu sais que tu me manque atrocement? Tu sais a quel point j'aimerai te montrer cette ville. Tu sais a quel point tu sera heureuse ici? Oui, tu serai loin de tout et tu oublierai tout. On ferai des boeuf dans des clubs de jazz sur frenchmen street. Je veux te montrer cet endroit un jour.
Je lis un mail de F, il me parle de Chamonix. Merde, ce mec est passionné. Il m'a fait voyager pendant quelques minutes, j'ai quitté la tempête lousiannaise pour les montagnes.
Mon esprit est dérangé par les sirènes.
Je suis vaguement décidée a bosser sur cet article alors je m'installe dans le gros canapé rouge du salon. Je met du jazz, parce que ça m'aide a me concentrer. Esjbörn Svensson Trio.
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