lundi 24 octobre 2011

a tribute to a dream

au sommet d'une montagne enneignée (CHX.). Tu me montres comment attraper la barre de fer qui tiens la petite voile rectangle. Nous sommes tout en haut. Tu saurai surement de quel sommet il s'agit, puisqu'une nuit, sur ton toit, tu m'a montré chaque montagne, pic, sommet de CHX. Sauf que tu montrait les cheminées des immeubles d'en face, comme si c'etait une chaîne de montagnes. Mais tu y a mis tout ton coeur ce soir là. Comme dans tout ce que tu fais, je crois. Mais la nuit dernière je ne sais pas vraiment ou on était. 
En tout cas il fesait un temps magnifique, la neige était confortable (?) et le soleil brillait, il fesait chaud. 
Tu me montres comment lancer la voile en l'air en s'acrochant a la barre, et tu me dis qu'il suffit ensuite de s'incliner en arrière, en l'air, pour que le vent prenne la voile, et tu me dis que comme ça on pourra planer et descendre jusqu'en bas de la montagne. 
Je saute, ma voile prend le vent. Je plane. Tu me suis. Tu m'apprend a voler avec cette petite voile. Je ne sais même pas comment ça s'apelle. Mais je vole, je plane, tout est léger, je ne sens même pas la voile au dessus de moi. On atterri souvent pour redécoller de nouveau, la sentation est une des plus intenses que j'ai jamais connue. Nous arrivons en bas d'une station de ski, et on prend les remontées mécaniques pour aller au sommet de la montagne a nouveau.
Mais la montagne a changé. cette fois c'est l'été, il y a de l'herbe et plus de neige, et des bâtiments en ruine partout dans la descente, comme un paysage désertique, de forteresses abandonnées frappées par le soleil. 
Mais cette fois tu va m'apprendre a voler sans voile, tu me dis que nos bras sont des ailes, et qu'on a pas besoin de voile. Je te crois, contre toute raison physique, contre toute loi logique de l'attraction, car il suffit de sauter en l'air et de s'incliner en arrière, nos bras prendrons le vent. Nous planons pendant des heures, atterrissons sur les toits, les murs en ruine, les maisons, pour décoller encore et encore.
Nous plannons pendant des heures, et chaque sensation est encore plus merveilleuse que tout ce que j'ai vécu. Nous arrivons au dessus d'une ville, c'est Bordeaux. Nous volons au dessus d'une place ou les gens nous regardent avec envie, ils sont vraiment impressionnés. Deux filles plannent aussi, mais au ras du sol, pendant quelques fractions de secondes. Nous, on vole comme des hirondelles, vachement plus longtemps, bien plus haut. On passe au dessus d'une fontaine. et on s'envole vers la campagne.
Le décor changera encore, mais c'est là que le plus beau rêve que j'ai jamais fait se transformera en cauchemar. 
Aucune nuit sans cauchemar. Mais au moins tu m'a vendu du rêve comme ils disent. Thank you. I miss you.

We'll be facing the sun, waiting for these things to come
We're smiling high watching the good things passing by
Pretend the feeling's fine, but inside we're crying sometimes
It ain't what it seems, nothing but a dream.


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